Une bonne journée de repos bien méritée, on lui avait donné quartier-libre, aujourd’hui. Point de combats à mener ou de morts à donner, l'arène n'était pas pour maintenant. Et il était bon être le héros de légende du clan de son maître, on lui laissait quelques libertés que nombre de gladiateurs ne recevaient pas. Et en ce milieu d’après-midi, on lui avait autorisé à se balader dans la ville dans laquelle il venait de s'arrêter. Enfin se balader était un grand mot, on ne laissait pas sans surveillance et protection, l'être qui apportait le plus de gloire et d'argent à la Maison de son maître. Bien sur que non, ça ne serait que pure folie. Il était donc libre de visiter la ville mais sous étroite surveillance de deux gardes qui le suivaient n'importe où. La crainte ne venait pas de lui, directement, après tout jamais Vérus ne fuirait la maison de son maître. Leur promesse commune les liant l'un à l'autre, jusqu'à ce que le serment soit accompli. Non le risque venant de l'extérieur lui même, et des nombreux parieur qui avait perdu tout leur sous dans les combat d'arène par sa faute! Ou tout simplement des êtres jaloux et sans scrupules. Le danger pouvait venir de partout, et il n'était point armé pour se défendre lui même, sans la présence du Maître et de sa propre garde.

Néanmoins Vérus ne préférait pas penser à ceci, il marchait dans les ruelles, et les étales du marchés, s'arrêtant à certains commerçant pour observer leurs produits. Une rare effervescence émanait d'un tel lieu réunissant commerces, acheteurs, voleur et noble de tous horizons. ON entendait chaque vendeur hurlait les qualités de son produit, tout en vantant son savoir-faire. Les odeurs de Poissons se mêlaient aux épices. Un nouveau Balai s'opérait sur la place du marché, entre les ventes, les négociations et les simples personnes qui discutaient entre eux. Néanmoins, une des étale attira l'attention de Guerrier, qui s'approcha curieux, les yeux brillant d'une étrange lueur.

-Monsieur est intéressé par l'une de mes poupées, venant de lointaines contrées?

Le gladiateur ne répondit pas à son interlocuteur, il lui lança un simple sourire, avant de toucher délicatement les dites poupées de ses doigts. Une douceur surprenant venant d'un être rompu au combat et à la violence. Il s'en empara d'une pour l'approcher à son visage, ses yeux se perdant dans le vide pour se noyer dans le visage poupin de la poupée de tissu. IL devenait Nostalgique, se perdant dans ses pensées pendant quelques instants!

~Ma fille l'aimerait probablement. Elle me fait penser à elle et me donne l'espoir de continuer!Peut être devrais-je lui en prendre pour le jour de son retour dans mes bras!~

Il reposa la poupée en tissu à côté de ses sœurs, avant de se tourner vers le marchand, et avec un large sourire, il s'exprima finalement:

-Mon cher ami, je reviendrais dans les prochains jours pour t'acheter plusieurs de tes poupées!

IL négocia plusieurs minutes avec le dit marchand, avant de s'entendre sur un accord à son retour, puis parti avec l'assurance d'un magnifique cadeau pour sa fille. Un cadeau qu'il viendrait récupérer très prochainement. Néanmoins, une sensation désagréable et familier parcourut son corps. Une ombre les suivait, des yeux dans les ténèbres les surveillaient, ainsi cette journée qui devait se passer sans anicroches tournerait mal, car ainsi en avait décidé les Dieux, semble t-il? Vérus, pressa alors le pas pour retourner à la villa du maître. Il ne fuyait de coutume jamais le danger, mais ici, il ne savait rien de ses ennemis, et ne devait pas mettre sa vie en jeu inutilement.

Suivit de ses gardes qui n'avaient, quand à eux, rien remarqué, le Gladiateur tourna de ruelles en ruelles, essayant de s'échapper des regards gênant et oppressant qui le suivait ainsi, mais rien n'y fit et le danger se rapprochait de plus en plus, il pouvait le sentir dans tous ses membres. Au fur à mesure de tourner à chacune des rues, il se retrouva dans une plus étroite et sombre, éloigné de la foule du marché. Mais déjà un homme encapuchonné, leur barrait la route et fit stopper net le guerrier et ses deux gardes. Décidément, ce n'était pas son jour de chance, ses ennemis l'avaient mener là ou il le voulait, sans qu'il s'en aperçoive. Il maudit les cieux un instant, avant de se dire qu'il pourrait peut être mieux se défendre ainsi, sans craindre pour la vie d'un autre. Mais à peine avait-il pensé ça, que des cris d'agonie se firent entendre dans son dos. Il fit volte-face pour découvrir, les deux gardes chargés de sa sécurité, une dague dans le dos. Il était dans de beaux draps et complétement seul. Mais ses instinct de survit et surtout de gladiateur reprirent le dessus, au bon moment. Un des hommes empoigna une dague de lancé, visant le visage de Vérus, celui-ci évitant de justesse l'attaque en traitre, pour se retrouver prés des corps sans vie de ses protecteurs. Propulsant ses pieds sur les deux bourreaux, pour les faire s'éloigner, il s'empara d'une des armes d'un des gardes et dégaina sans attendre. Le dragon avait sorti ses griffes, à présent, il n'était plus sans défense pour le grand malheur de ses ennemis. Mais une question subsistait, combien était-il?

Spoiler:

Ha c'est le matin je vous l'ai déjà dit que j'adorais cette période? mais si vous en voulez que je vous l'ai déjà dit.  enfin bref retour je sais rien alors que je me promène je fais interpeller par un marchand qui me dit :

"- bien le bonjour mon ami  approche  voir mes armes elles sont de qualités , en plus je te fais un prix d'ami seulement 2 pièces d'or les deux katana !
- cela me semble tout à fait honnête je pense que je vais vous prendre katana s'il vous plaît."

je ne sais pas pourquoi mais  je sens que je vais avoir besoin de ces armes vu que je fais des petits boulots à droite à gauche je ne peux pas aller faire ce genre de travail sans être équipé comme il se le doit.

alors que je marche tout-en admirant mes nouvelles armes j'entends un cri de douleur, je décide donc de courir voir ce qu'il se passe.une fois arrivé sur place je vois un jeune homme se faire attaquer par 5 hommes camoufler fin camouflet et a bien grand mot il porte juste un long manteau noir ah j'allais oublier il y a aussi deux hommes mort à terre je décide du coup d'aller aider le pauvre type qui se fait attaquer j'arrive par derrière un de ces bandits et je lui assène un coup de katana en pleine poitrine l'homme succombe et tombe par terre par chance nous sommes en hiver il y a donc des stalactites acccoché des maison. j'utilise mon pouvoir de glace pour en faire tomber un sur un des bandits il meurt donc transpercer par un mot pic de glace je regarde l'homme que je viens D'aisé il affronte 2 de ces escrocs je me demande si il va parvenir à les vaincre j'attends donc en regardant là scène.

Spoiler:

Il n'était pas dans sa prestigieuse arène, mais une simple ruelle sombre. Mais un combat restait un combat, et ses adversaires semblaient savoir à qui ils avaient à faire. Ils ne se jetèrent pas dans la mêlée sans réfléchir, il le jauger, l'observer, tout comme Vérus le faisait. Sans grande surprise, il était en inférieur numérique, mais il avait prouvé plus d'une fois que le nombre n'assurait pas la victoire. Néanmoins son manque d'information, sur leurs talents de bretteur et leur nombre, était à son désavantage. Et pourtant, le Gladiateur se permit un sourire, un de ses sourires carnassier et fier qui en faisait frémir plus d'un. Tant qu'il n'y avait pas d'archer, et tout porté à croire qu'il n'y en avait pas, il avait toujours sa chance.

Les minutes s'écoulèrent ainsi de façon interminable, les deux camps attendant que l'autre réagissent, à coup sur des hommes expérimentés dans l'assassinat, et à ne pas prendre à la légère. Mais ce petit jeu ne pouvait ainsi durer indéfiniment, l'un des deux devrait agirent...

Et c'est de la plus étrange des façons que le tableau se mit en mouvement, car deux hommes s'écroulèrent d'étrange façon, et avec une rapidité surprenante. Mort avant même d'avoir touché le sol. Et plus surprenant encore, fut le regard inquiet et médusé du chef de ce petit groupe, qui ne comprenait pas ce qui se passait. Toutefois ceci, faisait ses propres affaires, c'était toujours ça de moins à tuer et surveiller. Surtout que deux assassins bondirent sur lui, sans attendre une minute de plus. Les hostilités étaient lancées, mais sans le leadeur du groupe. Et pourtant, rien que les deux adversaires montraient l'étendu de leur potentiel, aguerrit dans leur combat en duo... Mais encore insuffisant pour affronter le Fureur-Dragon.

Deux lames se croisèrent à l'emplacement exacte où devait encore se trouver la gorge de Vérus, dans un parfait mouvement de ciseau pour lui trancher la gorge. Mais avec une grande agilité, le gladiateur s'était légèrement baisser, en appui sur ses deux jambes, pour aussitôt, abattre son arme dans un arc de cercle sur le ventre de ses deux ennemis, ouvrant suffisamment leur corps, pour faire sortir une partie de leur boyau et su sang dégoulinant. S'écroulant aussi vite au sol, se tenant les tripes, et hurlant de douleur. La mort ferait bien son travail, L'invincible avait un derniers combat à mener contre le chef du groupe, pour s'occuper de la vie des deux bougres. D'autant plus qu'il ne savait pas si l'aide providentielle était un allié de fortune ou un ennemi qui demandait tout le bénéfice de sa mort!

Un regard en arrière, vers ce "sauveur", afin de s'assurer qu'il n'y est aucune attaque surprise de sa part, et il remit toute son attention sur le derniers brigands, non sans surveiller l'étranger dans son dos... L'aiderait-il? Ou combattrait-il avec lui? Et pour quelle raison?