Linaewen N. Black Âge : 23 Philosophie : Avarice Divinité(s) : Litrish, Dieu de la mort et du néant Faction ou Clan :
Attributs Races: Tiefflin Réputation: (0/0) Adage: Il n'y a ni Bien, ni Mal. Seulement le Pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour s'en emparer | Sujet: Linaewen [TERMINÉ] Mer 8 Juil 2015 - 8:30 | |
| Linaewen N. BlackIl n'y a ni Bien, ni Mal. Seulement le Pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour s'en emparer.Genre: Féminin Surnom: La Rose, car malgré sa beauté innocente, elle est remplie d'épines. Âge: 15 ans Race: Tiefflin Terre d'origine: Varak Philosophie: AvariceFaction: La Guilde Profession: Patrouilleuse de Varakir Magie Je suis une Autodidacte et je pratique la magie Clanique mais plus précisément Chamaniste. Je maîtrise le - -. Aptitude(s) particulière(s): - Perception:
Perception : Ouïe, l'un de vos sens est exacerbé et vous trompe rarement. Sentir les passants, lécher la terre ou toucher du feu ça peut être très mal vu voire risqué...
- Réflexes:
Réflexes : Je suis particulièrement rapide, qu'il s'agisse d'agir si jamais la situation l'exige, de dégainer et attaquer pour protéger ma vie, ou encore de rattraper un objet qu'on m'aura lancé.
- Dissimulation:
Dissimulation : Permet de se fondre dans l'ombre et de devenir silencieux pour suivre ses ennemis sans se faire repérer.
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Apparence Physiquement, Lianaewen possède une beauté angélique, un visage calme et des traits finement dessinés ne trahissant que rarement ses émotions. Avec ses yeux bruns légèrement en amande et une longue chevelure cendrée s’accordant à la pâleur de son teint, elle possède un physique gracieux et une silhouette svelte. Elle pourrait facilement passer pour une humaine de Norpalie si ce n'est qu'elle possède deux cornes noires et de longues oreilles pointues qui la distingue du reste de la population. Elle possède aussi des griffes noires et tranchantes qu'elle peut rétracter et qu'elle utilise pour trancher la gorge de ses ennemis ou les mutiler. Elle mesure 1m70, ce qui est plus grand que la plupart des Humains, mais reste dans la norme pour son espèce. Elle possède une acuité auditive supérieure à la moyenne, une agilité exacerbée et de grandes habiletés magiques grâce à son état de demi-âme. Car malgré ses allures inoffensives se cache une jeune femme ambitieuse déterminée à obtenir ce qu'elle veut, qui n'hésite pas à se servir de son prochain. Elle affecte des manières douces et un sourire timide en apparence, car qui se méfie de l'eau qui dort ? En elle se cache une jeune femme perspicace et manipulatrice qui aime à se servir des hommes et de leurs faiblesses. Telle la rose, malgré sa beauté innocente, elle est remplie d'épines.Personnalité Issue du petit peuple et abandonnée dès sa naissance, elle a été élevée dans une famille humaine pauvre, mise à l'écart par le reste des enfants. Sa mère décédant lorsqu'elle était jeune à la suite d'une maladie, et son père ne se souciant que peu d'elle, elle a toujours été obligée de mentir et voler afin de survivre. Elle a depuis toute petite été confrontée à la cruauté du monde dans lequel elle vie, ce qui l'a poussé à apprendre à se débrouiller par ses propres moyens. Elle est ainsi devenue une experte en manipulation et en tromperie, trompant ainsi habilement les homme et se servant d'eux à sa guise. Elle reste généralement à l'écart des autres et est distante face aux contacts, n'en ayant jamais reçue de bienfaisant par une autre personne que sa mère adoptive. Grandir dans une famille où elle était rejetée, a fait d'elle une jeune femme assez renfermée et taciturne, qui a appris à se servir des faiblesses des autres. Elle a depuis son plus jeune âge évoluée dans un environnement froid et privé de chaleur humaine, hostile envers elle et son espèce, l'accusant d'une faute qu'elle n'avait pas commise, ce qui l'a endurcie et habituée à traiter les autres comme un moyen d'arriver à ses fins.Histoire Je suis née sans connaître mes parents. Adoptée puis élevée en paria, j'ai tout fait pour survivre. Et j'ai réussi.
Quand j'avais 4 ans ma mère est morte. La seule personne qui m'offrait un tant soit peu d'amour est morte. Et je ne pouvais blâmer personne pour ça. Elle s'est fait emporter par la maladie et le surmenage. Mon père, lui, passait ses journées à boire, et mes frères ne faisaient rien. Certains volaient, mentaient et trichaient pour avoir à manger. D'autres se laissaient dépérir. Moi je mendiais. Je passais mes journées assise par terre dans la crasse, dans l'espoir de récolter de quoi me nourrir. Les gens me regardaient comme si j'étais un monstre. Une anomalie. Une erreur. Au début, ce n'était pas comme ça. Il y avait le plus âgé de mes frères, il m'a pris sous son aile. Il m'apportais à manger, en attendant que je puisse me débrouiller par moi même. Je le regardais faire, sans intervenir, le voyant supplier, ramper aux pieds des gens. Puis il est mort, lui aussi. Mon père le battais. C'est ce qui l'a tué je crois. Un coup un peu trop fort au mauvais endroit. Ils ont dit qu'il était tombé. Et tout le monde y a cru. Après ça, il s'est mit à me battre moi. J'étais un obstacle, quelque chose qui n'avais rien à faire là. Je le gênais. Du coup je passais de plus en plus de temps en dehors de la maison. Et quand je rentrais, à chaque fois c'était de plus en plus fort. De plus en plus douloureux. Histoire de rattraper le temps perdu. Puis j'ai commencé à voler. Oh, au début ce n'était pas grand chose. Quelques pièces, par-ci par là. De temps en temps. Puis c'est devenue une habitude. Je volais des bourses entières, des bijoux, et des objets de valeurs. Puis une fois j'ai volé une dague, avec un manche en métal et des motifs gravés dessus. Et je l'ai gardé. Un jour je me suis battue avec des garçons. Ils devaient faire deux fois ma taille, et je l'ai sortie. Et ils se sont mis à rire. Comme si j'allais pouvoir me défendre. Et je me suis défendue. Je l'ai plantée dans le bras du plus gros. Il l'a retirée et s'est mit à crier et à pisser le sang. Et moi je rigolais. Enfin, j'avais du pouvoir sur quelqu'un. Même si c'était mal. Je m'en fichais. Il souffrait, et moi je le regardais là sans bouger. Puis j'ai ramassé ma dague et ils se sont enfuis. La lame était pleine de sang. Rouge, écarlate. Et je suis rentrée chez moi.
Après ça, ce n'était plus pareil. J'ai commencée à prendre d'autres armes et à les cacher chez moi. Je pouvais enfin me défendre, je n'étais plus faible. Du moins, c'est ce que je croyais. Un jour, une bande est venue m'aborder. Ils voulaient que je les rejoignent. Mais moi je ne voulais pas. Je voulais être seule. Être avec eux m'aurais affaiblie, j'aurais dû leur donner une part de ce que je gagnais et j'aurais dû penser au groupe en premier. J'ai refusée. Ils m'ont immobilisée et m'ont plaquée au sol, puis ils m'ont fouillés. Ils m'ont pris mon argent et ma dague, m'ont frappés, fort. Ils m'ont enfoncés la tête dans le sol, m'étouffant et me faisant avaler de la terre. Puis ils me redressaient et recommençaient. J'avais mal, peur, je pensais que j'allais mourir, et eux ils riaient. Ils voyaient comment j'étais pathétique et faible, et comme j'étais prétentieuse. Je voulais les tuer. Ils se croyaient invincibles, mais ils allaient le regretter. Ils allaient apprendre, comme moi j'avais appris, que tout le monde peut se faire détrôner, que personne ne peut rester le plus fort pour toujours. Ils allaient voir ce dont j'étais réellement capable. Ils ont continués longtemps comme ça, m'humiliant, me frappant et m'insultant. Puis ils se sont lassés et sont partis en riant. Je suis restée un long moment comme ça, sans bouger, tentant de calmer le flot dévastateur qui montait en moi. Puis je me suis redressée.
Je vais les tuer.
Je suis rentrée chez moi et ai ignorée mon père. Je suis allée dans ma chambre et ai pris le coffre sous mon lit, je l'ai ouvert et ai contemplée les lames qui s'y trouvaient. Longues, fines, tranchantes. Je les ai prise, une dans ma chaussure, une autre dans mon manteau, à ma ceinture, attachée à ma cuisse et mon bras. J'ai rassemblé mes affaires dans un sac, je n'en avais pas beaucoup de toute façon. J'ai pris de l'argent, de la nourriture, de l'eau et le reste de mes armes et je suis partie. Je me suis dirigée vers leur camp, en prenant soin de ne pas me faire repérer. Puis je les ai vue. Ceux qui m'avaient fait ça. Je les voyaient en train de rire et de parler comme si de rien n'était. Je me suis approchée sans bruit, dans l'ombre et ai attendue. J'ai attendue qu'ils aient leur attention focalisé sur un autre point, qu'ils me tournent le dos. Et j'ai attaqué. J'ai poignardé le plus proche de moi, à côté de la colonne vertébrale et ai plaquée ma main sur sa bouche pour étouffer son gémissement. Je l'ai laissé tomber au sol et ai essuyée ma lame sur sa poitrine. Le deuxième s'est tourné vers moi et j'ai planté ma dague dans son œil. Il s'est effondré par terre dans un bruit sourd. Le suivant s'est mit à reculer mais je me suis mise à courir vers lui et je lui ai déchiré la gorge avec mes griffes. Le sang m'a giclé dessus et il a poussé un gargouillis étranglé en crachant son liquide vermeil dans ma direction. Le dernier m'a sauté dessus et nous avons roulés à terre. Je me débattais en lui écorchant le visage mais il était bien plus fort que moi. Il m'a craché au visage un mélange de salive et d'hémoglobine en m'insultant. Il m'a immobilisé les mains au-dessus de la tête en me chuchotant des obscénités à la figure et en se mettant à rire. Il me disait que je n'étais qu'une sale traînée, que je n'aurais pas dû naître, que j'étais un monstre. Il allait voir que j'étais vraiment un monstre. Je le regardais se moquer de moi, de ma faiblesse, et il a pris un couteau. Il a fait courir la lame sur mon bras, creusant un sillon rougeâtre dans ma chair blanche. Je le voyais rire, se moquer de moi en sentant ma colère augmenter. Je sentais mon sang chauffer dans mes veines, mes pupilles se dilater et ma peau me démanger. JE VOULAIS TELLEMENT QU'IL MEURE. Puis soudain j'ai senti mes dents s'allonger et je lui ai planté mes crocs dans la gorge. Il s'est mit à hurler de douleur en se tenant le cou et je l'ai vue s'effondrer par terre. Je me suis redressée et je l'ai regardée se vider de son sang sans bouger puis je suis partie en le laissant agoniser.
J'ai voyagé de ville en ville en volant parfois et en menaçant des gens. Puis je me suis fait engager pour tuer quelqu'un. La première fois c'était un commerçant un peu trop curieux qui avait mit son nez dans des affaires qui ne le regardaient pas. Il est mort en silence sur un trottoir, la trachée ouverte en s'étouffant dans son propre sang. Puis il y en a eu d'autres. La fille d'un rival, un ennemi quelconque, une personne gênante à éliminer, un témoin à faire disparaître. Une vengeance, un règlement de compte, une vieille querelle qui refait surface, n'importe laquelle de ces raisons pour tuer quelqu'un. Et j'ai découvert La Guilde. Cette organisation qui n'a qu'un seul but : le profit. Des fois j'en repérais quand j'étais en mission, et je ne doute pas qu'ils m'aient repérés aussi. Mais bien sûr, qui soupçonnerais une pauvre petite orpheline de tuer des gens ? Personne. Puis des rumeurs ont commencées à courir. On me remarquais davantage avec mes courbes qui s’arrondissaient et s'allongeaient. Et puis, je suis une Tiefflin après tout. Rien qu'un demi-être, une âme souillée. Un jour, la Guilde est venue à moi. Ils m'ont proposé leur protection. Je pouvais redevenir invisible. Disparaître. Et j'ai accepté.
Hors-jeu
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SporadiqueLa main de Litrish
Âge : 223 Philosophie : Diplomatie Divinité(s) : L'ensemble du panthéon Faction ou Clan :
Attributs Races: Réputation: (5000/5000) Adage: « Que ceux qui boulversent l'Équilibre se méfient.» | Sujet: Re: Linaewen [TERMINÉ] Dim 28 Fév 2016 - 22:50 | |
| Salutations noble Tiefflin,
Navré pour cette attente interminable, mais nous y voilà. J'adore ta façon d'écrire, j'adore ceux qui osent se lier avec la Guilde, bref je suis curieux de la suite. Mais je me demande, tu ne mentionnes pas ton arrivée au sein des Patrouilleurs de Varakir ? J'aimerais en savoir plus, mais je suis d'avis que cela peut arriver lors de tes premiers RPs parmi nous, ce n'est pas nécessaire à ta validation. Concernant ta magie, étant donné que tu ne mentionnes aucun mentor ou pratique de ta magie- et que tu es très jeune-, je peux te nommer Autodidacte et te donner droit à un sort chamanique. Tu pourras en avoir plus au fil du temps si tu utilises ta magie lors de tes aventures. Si jamais tu es toujours partante, la Vallée est prête à t'accueillir.
Cordialement,
S. | |
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