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InvitéInvité | Sujet: Petite histoire Lun 15 Sep 2014 - 20:06 | |
| Ahah Evynne quand je te lis j'ai des phrases / moments / répliques (rayez les mentions inutiles) qui me reviennent. (notamment 9gag avec le "*heavy breathing*" ). J'aime me faire ma petite version de l'histoire. Evynne je vais la partager avec toi. Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. Le contexte:La vallée d'Ildir et ses joyeux membres Laissez moi vous raconter l'histoire qui se cache derrière: - Le conteur a écrit:
- "Dans cette vallée paisible de nombreux aventurier s'établissent chaque jour, la bonne entente va de paire avec ce lieu fort sympathique. Tout se passe a merveille, sauf certains qui disparaissent à tout jamais.
Certaines disparitions sont inexpliqués, d'autres passent inaperçus, quand à certaines qui ne peuvent être dissimulés elles sont rendus nécessaire "pour le bien de tous". A la tête de ce petit monde un groupe bienveillant, prêt à tous les sacrifices pour le bien de la vallée. Déterminés ils font tout ce qu'ils jugent nécessaire...
L'homme de paille est là l'oeil vif, il surveille, protège les petites gens et se protège des petites gens. Son rôle est à double tranchant, mais les apparences sont bien la. Il est figure d'autorité et est là pour faire ce qui doit être fait !
"Mais qui décide de ce qui doit être fait ? "
"Chut ! tu vas me gâcher l'histoire"
Donc.. Euh .. oui il est comme ça, impassible et presque sans libre-arbitre. Il a un rôle à tenir et le tient à merveille !
La reine est la pour vous faire voir la vie en rose, soumets ses idées tel un serpent et embélit les choses, en suggère d'autres et appuie bien ses suggestions. Une magnifique rose aux épines mortelles dans un écrin de tendresse. Avez vous déjà contrarié une princesse, gardez-vous en malheureux ! Le spectacle est désopilant. Comme dans toutes les monarchies, il suffit de bien être vu à la cour.
"Comme père siffleur alors ? "
"C'est presque ça oui, mais retourne avec les autres, veux-tu !"
Quelques jours encore et vous ferez surement la connaissance d'un tas de gens du commun plus sympas les uns que les autres. De bon moments, de franches rigolades et des jeux plus fous les uns que les autres. Tous sont hauts en couleurs, sauf un plutôt blanc, entièrement ou presque. Mais à la personnalité bien trempée.
Et puis en creusant un peu, le vent parle. des bruits de couloir tout d'abord et puis un brouhaha et un message faible, des murmures. Les morts et les mourants parlent. Ils communiquent entre eux, la plupart ne ce sont pas perdus dans les bois et n'ont pas croisé de bêtes sauvage. Certains ont été poussé sur la mauvaise route, d'autre simplement éliminés. Les discours ne ressemblants qu'à des cris sans fil conducteur se transforment petit à petit en récits détaillés. Tous pointent dans la même direction ! Pour le moins surprenante, mais c'est répétitif, tout le monde le sait, personne n'en parle. Et pourtant il suffit de lancer le sujet pour qu'une conversation animé suive. Bien sur les murs ont des oreilles et les gens ne parlent qu'en lieux de confiance.
Quelques curieux ont bien voulu poser des questions, c'est la qu'est apparu le pantin. Animé de ses propres sentiments et émotions il avait cependant les pieds et mains liés. Voulant faire selon son coeur, ses yeux guéttaient sans cesse par dessus son épaule, il avait des consignes. Ses discours galvanisaient les foules, il était rôdé à l'exercice. Cela suffisait la plupart du temps, mais parfois les réponses ne convenaient pas à certains. Les réponses devenaient du coup plus "privée" et le curieux ressortait d'une entrevu muselé ou les pieds devant, un tragique accident. Il était mis en terre en héros et on oubliait bien vite son nom. D'autres désireux de garder la vie étaient mis en exils. Simplement ignoré, parias parmi les leurs.
Un nom semblait tirer les ficelles et ne se dévoilait pas souvent, sinon pour imposer sa volonté. Chose admirable mais dont les raison étaient discutable. Et tout ce petit monde se couvraient les uns, les autres. Selon les écrit officiels jamais une erreur ne fut commise, tout était toujours vu avec l'intéressé qui ne parlait plus. Dépossédé, de ses bien et de ses envie, il n'était plus, quelques temps et il était oublié ensuite les écrits étaient purgés et il n'avait jamais existé.
L'équilibre fragile entre les disparus et les nouveaux nés était fragile mais tenace, la vallée subissait un éternel recommencement sans que cela n'inquiète personne (ou presque)." - Disclaimer:
Ce post est vous l'avez deviné satirique (Une satire est une œuvre dont l'objectif est une critique moqueuse de son sujet, souvent dans l'intention de provoquer ou prévenir un changement.) Le déclin des membres et le départ volontaire et sans pré-avis de certains est a prendre comme un avertissement. Ce n'est la que mon avis, et j'espère que vous avez apprécié la lecture J'ai pris plaisir à l'écrire.
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| | | Zéphira DelsolaDame de Bélin
Philosophie : Compassion (Loyal, Bon) Divinité(s) : Litrish, Phélemée et Revoran. Faction ou Clan :
Attributs Races: Bélinois Réputation: (2790/5000) Adage: « Mon peuple est à part, mais jamais séparé. Libre, mais jamais seul. » | Sujet: Re: Petite histoire Lun 15 Sep 2014 - 21:02 | |
| Aodrène je dois dire que je t'attendais au tournant. Je me demandais QUAND le grand Aodrène remuerait encore de son beau bâton la crotte fraîche laissée par terre, attendant sa main divine pour enfin renaître de ses cendres tel le phœnix fétide brunâtre qu'il semble vénérer autant que Sipriar propage le mal. Ta "vengeance" car s'en est une, sous les traits d'une "satire" avec la définition, bien sûr car nous sommes stupides, bien sûr. Alors je vais dire une chose, Aodrène tes menaces, tes manigances, tes sous-entendus, et par-dessous tout cette manie presque SYSTEMATIQUE de te mêler absolument de TOUT ce qui te concerne de près ou de loin (car selon toi TOUT te concerne vu que tu es membres, ce qui n'est qu'une demi-vérité). Tu apprendras, sûrement à tes dépends vu comment tu es partis dans ce beau voyage, que les forums rp répondent à des règles et à un code d'attitude et que les gens qui ne peuvent pas le respecter se voient contraints de partir. Nous t'avions prévenu de passer à autre chose, tu passes pas à autre chose, tu CHANGES de sujet pour recommencer automatiquement les MÊMES actions. Je laisse la place à Sporadique pour le "jugement dernier", car ce le sera, ne t'attends pas à autre chose, hein. On va discuter, mais ne t'attends pas à de la clémence. A très bientôt. Je t'épargne la définition des mots un peu compliqués. T'es assez intelligents pour les comprendre, à n'en pas douter ps: tu as encore pourri un sujet qui n'avait rien à voir tout ça pour exposer un conflit qui t'es resté en travers de la gorge, à savoir celui d'Anaël. Bon vent. Désolé Evynne. | |
| | | SporadiqueLa main de Litrish
Âge : 224 Philosophie : Diplomatie Divinité(s) : L'ensemble du panthéon Faction ou Clan :
Attributs Races: Réputation: (5000/5000) Adage: « Que ceux qui boulversent l'Équilibre se méfient.» | Sujet: Petite histoire Lun 15 Sep 2014 - 21:14 | |
| C'est en assez, tu ne mérites pas de ''procès'' d'aucune sorte, nous te bannissons séance tenante, Aodrène. Tes actions vont totalement à l'encontre de l'essence même de ce forum, tu te ridiculises et tu prends les membres pour des idiots en leur susurrant à l'oreille que l'équipe administrative est hypocrite et sans scrupule. Ils sont à même de juger par eux-mêmes si leur expérience sur le forum leur plait ou non. Que tous ceux qui sont d'accord avec les agissements d'Aodrène le suivent, nous avons créé ce forum pour avoir du plaisir, pas pour s'embêter avec des fauteurs de trouble. Si notre but était de blesser les gens nous ne passerions certainement pas autant d'heures à améliorer le contenu du forum afin d'offrir un univers de qualité. Ceux qui veulent créer par l'écriture un personnage qui viendra embellir le forum sont les bienvenus et seront toujours traiter avec respect.
Tu nous as fait perdre suffisamment de temps comme ça, au revoir.
Phelim et Thaom | |
| | | Evynne PianecGuérisseuse
Philosophie : Altruiste Divinité(s) : Phélemée Faction ou Clan :
Attributs Races: Aasimar Réputation: (1870/5000) Adage: Aider avec le Sourire | Sujet: Re: Petite histoire Mar 16 Sep 2014 - 3:52 | |
| Une ombre blanche pencha la tête en observant la scène où se jouait le théâtre des marionnettes. Faisant la moue tout le long, elle se recroquevilla. Le vent s'était levé et il commençait à faire froid. L'histoire comptée était confuse, des moments étaient floutés, distants, étrangers. Elle regarda tout jusqu'à ce que des mains apparaissent. Il était rare de les voir mener les pantins, mais elle y assista, avec un peu d'anxiété. L'avait-on vue ? Surement oui. Elle n'étais pas vraiment discrète, mais c'était une ombre. Ce n'était que vent et elle n'avait pas de bouche pour parler. Ni de yeux pour voir en passant... mais elle ressentait. Les ondes de tension sculptait son corps. Alors elle pouvait regarder ce qu'il arrivait.
Et voir les mains s'emparer de ciseaux pour couper les fils au dessus d'une marionnette. L'ombre tressaillit. Elle ne pouvait pas pleurer, elle ne voulait pas le faire mais elle ressentit de la tristesse et observa l'endroit où elle se trouvait. Ce qu'elle adorait ce théâtre... Ce qu'elle aimait cette scène où pouvait tout se dérouler, tant qu'on en avait l'imagination. Ce qu'elle appréciait tout ces gens qui y participaient. Autant ceux qui tenaient les ficelles que ceux qui était tenus par elles.
Elle était bien ici. Des cordes coupées ne changeraient rien. Pas pour elle, elle l’espérait. Ce n'était qu'une ombre mais ça aurait pu être une tombe. Elle était muette et voulait simplement vivre.
Alors l'ombre s'avança, ramassa les cordes qui s'étaient détachées au moment où le pantin avait disparu. Au moins il était libre là où il était. Elle sourit à son souvenir, s'inclina un peu pour lui rendre hommage, passa les fils tombées à son poignet et s'avança jusqu'à la scène.
Elle alla même jusque dans le théâtre et elle se permit de rajouter un peu de corde à tout les pantins pour qu'ils aient plus de liberté de mouvement. Ce n'était pas grand chose. Mais les mains qui tenaient tout devait elle aussi se permettre d'être plus libre. Ils avaient crées ce théâtre mais c'en était eux les vrais prisonniers maintenant. C'était à eux de gérer tout ça pour que les fils ne s'emmêlent jamais vraiment et pour qu'ils ne soient pas décidés à couper les cordes. C'était une tâche difficile. Dans un autre temps et un autre lieu, elle aurait essayé d'offrir la patience aux mains pour démêler les fils avant de les couper. Mais elle s'en moquait, l'ombre n'était pas là pour ça.
Secouant une dernière fois la tête, l'ombre blanche reprit place sous une marionnette souriante, heureuse d'être ici mais triste de voir que des gens quittaient le lieu où ils auraient pu tous être si bien... | |
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