SporadiqueLa main de Litrish
Âge : 224 Philosophie : Diplomatie Divinité(s) : L'ensemble du panthéon Faction ou Clan :
Attributs Races: Réputation: (5000/5000) Adage: « Que ceux qui boulversent l'Équilibre se méfient.» | Sujet: Ulrik Hurlevent, Roi de Paria Lun 14 Juil 2014 - 20:08 | |
| Ulrik Hurlevent • Âge : 180 ans • Race : Parien • Métier : Roi de Paria (autoproclamé) • Philosophie : Libertarisme • Niveau RP : Intermédiaire/avancé • Localisation actuelle : Crypte (Paria) • Bonus de réputation : 1500
| Mes caractéristiques physiques : On me dit plutôt grand pour un Nain (1,40m). C'est sans doute cette robustesse qui m'a permise de prendre le pouvoir aussi facilement. Je suis plutôt classique, ma barbe est de couleur châtain, comme beaucoup de mes confrères mes traits sont très marqués. Entre mes lèvres vous trouverez souvent une pipe à tabac, ça m'aide à réfléchir, il paraît...
Éléments importants de mon histoire : Je n'ai pas toujours été à Paria. Je suis issu d'une famille noble de RagePierre. A cause d'un jugement hâtif, j'ai été reconnu coupable d'un meurtre que je n'avais pas commis et j'ai été contraint à l'exile. Mon honneur ainsi perdu, et n'ayant de fait plus rien de précieux à perdre, je me suis exilé et j'ai rencontré sur ma route des Nains et Naines aussi démunis que moi. Puisqu'aux yeux de la société nous n'étions plus que des criminels, j'ai fondé Paria : me voici maintenant Roi des voleurs.
Traits particuliers à incorporer au RP : J'ai horreur qu'on touche aux enfants, j'ai d'ailleurs tendance à sortir de mes gonds dès lors que j'en vois un souffrir. Ce qui ne m'empêche pas de leur proposer une vie meilleure en échange d'une simple adhésion à mon parti afin que mon idéal se concrétise un peu plus vite. Je ferai de Paria, non seulement le plus grand rassemblement d'Ildirith, mais aussi la première Cité de hors-la-loi civilisée.
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Mes relations La Guilde : Je suis peut-être le Roi de la bande de vanupieds qui composent Paria, mais eux sont bien plus haut dans la hiérarchie. Ils sont mystérieux et je n'en parle presque jamais. Je dois en fait avouer qu'ils me font peur, cette organisation faite du sang et des os de leurs victimes. Je tente de rester éloigné le plus possible d'eux, même si - et je ne peux me leurrer- sans eux nous serions encore tous des criminels sans-le-sous.
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