Dagathor Vel'hislan, Seigneur de Varakir

La main de Litrish

Dagathor Vel'hislan

• Âge : 25 ans
• Race : Varakirois
• Métier : Seigneur de Varakir
• Philosophie : Obéissance
• Niveau RP : Intermédiaire/avancé
• Localisation actuelle : Varak
• Bonus de réputation : 2500

Mes caractéristiques physiques : Je suis grand (1m83), musclé, ma peau est basanée, j'ai des cheveux bruns foncés portés longs, une barbe longue et soyeuse que je décore de bijoux dorés, j'ai des yeux bleus, des vêtements de guerrier malgré mon rang, je porte une lance de guerre et un cimeterre d'argent.

Éléments importants de mon histoire : Je suis un ancien Arrache-sable sans sang noble, ce qui ne m'a pas empêché de tuer l'ancien Seigneur dans un duel avant d'occuper ses fonctions. J'ai vécu une enfance plutôt instable et j'ai sauvé ma mère en m'interposant entre elle et mon damné géniteur. C'est en chialant, un œil en moins qu'il s'en est allé pour ne plus jamais réapparaître.

Traits particuliers à incorporer au RP : Je suis le plus jeune des trois seigneurs humains. J'utilise les Arraches-sable comme des assassins lorsqu'il le faut sans quoi il se doivent de protéger chacun de mes citoyens au péril de leur vie. Je gouverne Varakir d'une main de fer et je me fais respecter par la peur tout comme la clémence. Cependant, j'agis pour le bien de ma contrée sans vraiment envisager une guerre quelle qu'elle soit. Les Varakirois m'idolâtrent ou me méprisent en silence mais cela n'a guère d'importance tant que l'ordre et la paix sont respectés.

Mes relations

Melkiar Jerodian : Un homme puissant qui tente de changer le monde avec ses idéaux socialistes... Une vraie blague. Je garde un discours respectueux avec lui -il est après tout le souverain de la Norpalie- mais, viendra le jour où il sera remplacé car à l'image de son pays, il n'est plus que l'ombre de sa puissance d'antan.

Zéphira Delsola : Une jeune femme inexpérimentée qui ne comprend rien au monde. Une soit-disant souveraine qui laisse son ''amour'' des autres races l'éloigner de celui de son propre peuple. Elle a laissée entrer la corruption dans sa cité; jamais je n'aurais tolérée d'avoir une ''Basse-Ville'' dans la mienne.